Enfin. Première journée internationale pour la lutte contre la violence et le harcèlement en milieu scolaire en 2020.

Un suicide de plus, un déchirement, une fugue… #NonAuHarcèlement. Harcèlement scolaire, le mot terrifie. Le 5 novembre 2020 était la première journée internationale pour la lutte contre la violence et le harcèlement en milieu scolaire, approuvée à l’unanimité l’an dernier par les 193 membres de l’UNESCO, et enfin mise en place.


Témoignage pour comprendre


Nouvelle Calédonie : TedX de Lou Halfon, qui a été harcelée dans son milieu scolaire et qui nous fait voir les choses d’une toute autre manière (9 minutes). Une double souffrance : celle du harcelé et celle de l’enfant harceleur (où a-t-il appris à insulter, humilier et frapper ?)

#NoBlameNoShame

Soigner et prévenir. La première journée internationale pour la lutte contre la violence et le harcèlement en milieu scolaire, y compris le cyberharcèlement enfin mise en place.

A l’école, vous êtes régulièrement houspillés ou ridiculisés pour ce que vous êtes, cela ne vous amuse pas, vous fait du mal ? Vous êtes enseignant et désemparé face à une situation trouble d’un de vos élèves ? Vous êtes parent et démuni face à la souffrance de votre enfant ? Vous n’êtes pas seuls.

Page dédiée sur le site officiel de l’UNESCO

En France, le numéro d’alerte 3018 devient l’unique numéro pour alerter sur une situation problématique. Un site de l’Education Nationale offre les ressources sur la question.

Pourquoi sensibiliser ?

– Parce que la crise suicidaire peut être surmontée mais il faut demander de l’aide car elle peut être trop intense. Avez-vous pensé au plan de sécurité (élaboré par des soignants et mis à disposition) ? Lien

– Parce qu’avoir connu un proche qui s’est suicidé est perturbant et peut nous fragiliser, surtout si on traverse une période délicate (familialeprofessionnelle, économique, de santé). Avez-vous pensé à en parler ?
Lien pour le guide de gestion d’excès de stress en 8 langues de l’OMS / Lien ressources écoutes.
Dans certains pays, un numéro national d’écoute gratuite et anonyme est en place. Sinon, rapprochez-vous d’un centre de santé.

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