UT FORTIS et Christina Goh, un projet de longue haleine

Ce n’est pas la première fois que Christina Goh s’engage.

L’artiste avait déjà abordé les thèmes de la dissociation, inspirée par la définition de Janet, dans le titre « Invisible » en 1999 (édité en 2014 par le label international Plaza Mayor Company Ltd. ) et évoqué le problème du surendettement pouvant mener à l’isolement et au suicide dans « Faillite » (écrit en 2011, édité en 2012, réalisé en court-métrage audiovisuel sur le site du Musée des Beaux Arts de Tours en 2013). La question du deuil après la mort brutale et traumatisante d’un proche étant posée dans le titre « Sans temps » de 2016.

De 2011 à 2016, Goh a pu initier une série de concerts bénévoles en profitant des fêtes de la musique pour des moments « Musique et mieux être » en centre pour adultes handicapés, en hôpitaux et en EHPAD. Suivront sur la même thématique (Musique et mieux être), des masterclass et ateliers sur le chant et l’expressivité poétique pour les adolescents (milieux scolaire (écoles internationales et associations de quartiers), pour les bénévoles d’association et les entrepreneurs) ainsi que des ateliers de chant et d’exploration vocale pour des victimes de guerre. La vocaliste a été marraine de la nuit de l’accessibilité (2016) de l’association Madinina Access (conseils pour une meilleure intégration des handicapés) en Martinique.

En 2018, elle initie le concours international de poésie « La Différence » pour une meilleure expressivité par le biais poétique sur la notion de différence.

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